Ma « boutique » en ligne avec aStore?

aStore powered by Amazon

Je cherchais un moyen de référencer les livres que j’ai appréciés et que je souhaite recommander aux lecteurs de ce blog. J’avais tenté de faire un référencement moi même, à la main : trop pénible. J’avais testé quelques plug-ins tiers pour WordPress (le logiciel utilisé pour créer ce blog) mais rien de bien convaincant.

Finalement, une solution arrive par Amazon.com qui, à travers son excellent programme d’affiliation « Associates » vient d’ouvrir en beta le service « aStore ». En 5 minutes une mini boutique est créée avec les produits qu’on souhaite promouvoir. Ça vient d’ouvrir en beta, on est pour le moment limités à 9 produits et on n’a pas accès aux produits du site français (livres francophones notamment). Il me faut aussi de mon côté modifier des éléments de mon template WordPress pour que la boutique s’affiche sans être tronquée à droite… et là j’avoue je n’y connais pas grand-chose en PHP et encore moins en CSS.

Voici donc ma boutique 🙂

Je vais suivre ça de près, l’idée me plaît et me semble prendre la bonne direction.

Je suis également de près Zlio de Jeremie Berrebi. J’avais crée un « mon Zlio » à l’époque de la beta, mais je n’étais pas très convaincu. Aujourd’hui Zlio évolue, se repositionne et devient ZlioShop. Je ferais une petite note à ce sujet bientôt.

La loi de Parkinson

Ramenée à mon esprit par le post « Parkinson’s law is so true! » de Fabrice Grinda, La loi de Parkinson exprime que « le travail s’étale de façon à occuper le temps disponible pour son achèvement » (« work expands to fill the time available for its completion”).

Intéressante loi énoncée dans un article de C. Northcote Parkinson, Raffles Professor of History à l’University de Singapore, paru pour la première fois en Novembre 1955 dans The Economist.

Un bon copier-coller avec pointage vers la source vaut mieux qu’une réécriture médiocre de ma part :

La loi de Parkinson exprime que « le travail s’étale de façon à occuper le temps disponible pour son achèvement ».
Elle fut exprimée en 1958 par C. Northcote Parkinson dans son livre Les lois de Parkinson, basé sur une longue expérience dans l’Administration britannique. Les observations scientifiques qui contribuèrent au développement de la loi tenaient compte de l’accroissement du nombre d’employés du Bureau des affaires coloniales, ceci malgré le déclin de l’Empire britannique dans le même temps.
D’après Parkinson, cela est dû à deux forces :
« Un fonctionnaire entend multiplier ses subordonnés, pas ses rivaux » et
« Les fonctionnaires se créent mutuellement du travail ».
Il nota également que le total des employés d’une administration augmentait de 5 à 7 % par an « indépendamment de toute variation de la quantité de travail (le cas échéant) à accomplir ».
[…]
Parkinson proposa aussi une règle relative à l’efficacité des conseils d’administration. Il définit un coefficient d’inefficacité dont la variable la plus significative est le nombre de ses membres.

Article Loi de Parkinson sur Wikipédia

Je vous invite à lire (en anglais) l’article de Fabrice Grinda.