Les Cl

Toujours peu de temps pour blogger, mais petite promo rapide pour la bande des 8 copains, fidèles de l’OpenCoffee Club Paris, et leur GeekTripSF.

Special Congratulations :

Nous devrions tous avoir fait au moins un GeekTripSF !!!!

Ca se passe chez PPC, là : Silicon Valley : voyage d’études en économie numérique

Pourquoi je n’ach

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Je suis l’heureux possesseur d’un iPhone 1.0 acheté chez Orange dès sa sortie, et cet outil a fondamentalement changé beaucoup de choses, petit à petit, insidieusement. Si je devais faire un parallèle, je dirais que l’iPhone a un impact social, personnel et professionnel qui peut se comparer à l’adoption de mon premier téléphone portable (GSM) en 1993 ou 1994, comparable donc au passage de la téléphonie fixe à la téléphonie mobile, il s’agit de la naissance du Web Mobile, internet au creux de la main partout à toute heure. Mais ceci n’est pas l’objet de ce présent post.

Par rapport au iPhone1.0, le iPhone 3G apporte deux choses essentielles :

  • La 3G
  • Le GPS

et quelques détails de moindre importance :

  • Un design légèrement revu avec l’adoption d’une coque plastique noire (ou blanche)
  • Une prise casque standard

Les détails de moindre importance sus-nommés ne justifient pas à mes yeux un passage au iPhone 3G.

En revanche, la 3G et le GPS sont des fonctionnalités majeures qui pourraient justifier l’achat du dernier iPhone. Mais pour ma part cette tentation de l’upgrade est tempérée ainsi :

  • 3G
    • Autonomie : La 3G est une technologie qui est encore très consommatrice d’énergie, elle divise quasi par deux l’autonomie, ce n’est pas spécifique au iPhone, mais ça touche de fait le iPhone 3G. L’autonomie est un élément très important sur un smartphone.
    • Débit : Le débit en 3G est certes supérieur au EDGE, notamment sur des tests en « burst mode » où on mesure le temps nécessaire à charger une quantité importante de données. Mais dans un usage quotidien rares sont les moments où on a une réelle quantité de données à charger en une fois. Le chargement des mails n’est que légèrement accéléré par la 3G (et imperceptible en « push mail »…), et l’accès à la plupart des applications web voit un gain honnêtement perceptible, mais pas fondamental.
    • Conclusion : Le gain en débit ne suffit pas à accepter une perte d’autonomie de l’ordre de 50% et plus. Si je possédais un iPhone3G, je désactiverais l’option 3G (comme de plus en plus d’utilisateurs) pour ne la réactiver que dans les rares cas où par exemple j’ai un .DOC ou .PDF >5 Mo en pièce jointe à télécharger.
  • GPS
    • Piéton : En usage piéton le GPS est certes un confort de précision, mais le système de géolocalisation par double triangulation GPRS + WiFi intégré au iPhone 1.0 est déjà extrêmement efficace et bien suffisant.
    • Voiture : C’est vraiment là que le GPS prend tout son sens. Mais hélas, à ce jour, il n’existe pas d’application de navigation GPS dite « turn by turn » sur le iPhone. Autant l’application « Plans » du iPhone utilisant Google Maps est très utile en usage piéton, ou pour consulter une carte, autant elle est inexploitable pour la navigation en voiture.
    • Conclusion : Le GPS du iPhone prendra réellement tout son intérêt lorsque les premières applications de navigation GPS apparaîtront, et nous sommes nombreux à espérer l’arrivée de TomTom.

En conclusion, mon achat du iPhone 3G est conditionné à la sortie de TomTom pour iPhone… et en attendant, mon iPhone 1.0 dispose de tout ce dont j’ai besoin, notamment de l’autonomie qu’a perdu le iPhone 3G. Et en voiture mon bon vieux Tréo 650, avec TomTom en mémoire, vit une retraite active comme GPS embarqué.

Une nouvelle

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HP (Hewlet Packard), puis Apple, sont les deux « mythes du garage » les plus connus.

Du grand public, le garage d’HP est peut-être un peu moins connu, avec l’image idéalisée des deux Steve créant Apple dans le garage des parents de Jobs.

Mais le garage historique reste bien celui de Bill Hewlett et Dave Packard où est né HP, que beaucoup considèrent aussi comme le lieu de naissance de la Silicon Valley.

Aujourd’hui une nouvelle ère du garage est née. Comme les précédentes, elle est née de l’évolution des technologies, de ces évolutions qui ouvrent sur une page blanche, une page qui ne coûte rien et sur laquelle on peut tout écrire et tout dessiner.

Cette nouvelle ère du garage prend racine dans le Web, le Web 2008, celui des outils et langages Open Source, celui de la chute des coûts d’hébergement, de bande passante, de processing, mais, élément essentiel, elle prend racine dans la dématérialisation complète de la chaîne technique et la scalability (extensibilité??) accessible à tous.

Quand on a 10 ans, on ne peut pas payer l’hébergement de serveurs Web, de bases de données, les licences logicielles Microsoft, Oracle et autres. À dix ans on a juste 10 doigts, 10 balles par mois, et 10 heures de libres par jour.

Google, avec Google App Engine vient de poser l’une des dernières briques requises à l’émergence de cette nouvelle ère du garage.

Désormais, à 10 ans, avec 10 doigts, 10 balles par mois, et 10 heures de libres par jour, on peut tout inventer, on peut venir chatouiller les grands, on peut construire les usages de demain que les grands sont bien souvent incapables d’imaginer.

Les usages de demain, seront construits par des mômes qui aujourd’hui ont 10 ans et qui auront déjà tracé leur trajectoire dans bien moins de 10 ans.

Cette ère du garage prend également forme sur mobile, et plus spécifiquement sur iPhone. John Carmack, fondateur d’ID Software (Wolfenstein 3D, Doom, Quake etc.) s’exprimant sur la plate-forme iPhone a dit « un simple duo, formé d’un bon développeur et d’un bon graphiste, peut se faire deux millions de dollars grâce à une idée inédite« . Et il sait de quoi il parle John Carmack, dont ID Software fut fondé par une poignée de jeunes gars et fit fortune en vendant ses titres en shareware loin du modèle « retail » en vigueur.

Oui, nous y voilà à nouveau, 20 et 30 ans après, une nouvelle ère du garage est née, touchant l’univers du Web et aussi celui du Mobile (iPhone en tête, Google Androîd a suivre).

Mon parcours d’entrepreneur est né là, il y a 30 ans, quand à 10 ans on réalise qu’on est libre, LIBRE, qu’on peut seul ou avec un copain ou deux développer quelque chose en quelques jours ou semaines, à un coût nul, qui représente une vraie valeur pour les autres, que ce soit un jeu, ou un logiciel de compta que le revendeur Apple du coin commercialisera auprès de ses clients en ayant fait rédiger la documentation par sa fille aînée.

Nous allons (re)vivre une époque formidable.

Jeunes gens debout! Croyez en vous, n’écoutez pas vos aînés sclérosés, libérez vos rêves, autorisez-vous à créer, partagez, soyez tenaces, réinventez tout, c’est votre tour, et vous pouvez compter sur nous, entrepreneurs que nous fument et sommes pour vous renvoyer l’ascenseur.

A vous!

iPhone devenu tr

Vous possédez un iPhone « 1.0 », mais il est devenu très lent après la mise-à-jour en 2.0 ?

La solution :

  • Eteindre l’iPhone (pression longue du bouton « veille »).
  • Le rallumer ET MAINTENIR APPUYÉ LE BOUTON « VEILLE » jusqu’après apparition de la pomme.

Et tout rentre dans l’ordre… c’était juste une histoires de caches à purger.

La Brute : Oserez-vous affronter LvP ?

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Ayant fait une partie de ma carrière dans le jeu vidéo, je ne pouvais pas ne pas signaler ce petit jeu viral vraiment sympathique et bien fichu.

On y retrouve tous les bons ingrédients ; facile a comprendre, accès immédiat, progression équilibrée, rewarding, challenging, addictive, et fun…

Qui vient se battre ?!! : http://lvp.labrute.fr/

Virus : Jeremie Berrebi

Microsoft dissocie ses divisions Windows et Internet

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Je m’étais fait plaisir il y a quelques mois en imaginant un repositionnement stratégique des produits Microsoft dans le cadre de l’acquisition potentielle de Yahoo : Analyse de l’offre de Microsoft sur Yahoo, et figure libre 🙂

Certes ma vision était poussée à l’extrême, mais elle avait le mérite de mettre en évidence quelques points délicats au sein de l’empire Microsoft.

Aujourd’hui, avec le départ de Kevin Johnson, qui occupait jusqu’ici le poste de vice-président en charge de la division plateformes et services, et la scission de cette unité en deux pôles distincts, l’un consacré à Windows et l’autre dédié aux services Internet, se dessine une réorganisation qui me semble pertinente et dont je leur souhaite qu’elle se poursuive également vers une séparation très marquée Grand Public/Entreprise.

Source partielle : NetEco – Microsoft dissocie ses divisions Windows et Internet

Lancement de la Fondation Open Web

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Je n’ai absolument plus le temps de bloguer, totalement absorbé par le décollage de Fair Play Interactive. Alors rapidement, je pointe juste une info importante : le lancement de la Fondation Open Web, dans la lignée de Data Portabilty & Co. Des étapes fondatrices d’un internet ouvert, riche et intelligent.

Source : TechCrunch – Open Web Foundation Officially Launches

Mise à jour 26/07/2008 :
Chris Messina explique le pourquoi d’une nouvelle fondation : The Open Web Foundation

Comment internet change nos organisations

Prenez 45 minutes de votre temps pour regarder cette brillante intervention de Serge Soudoplatoff.

Ce n’est rien 45 minutes, vous les passez chaque jour ou plusieurs fois par jour dans les transports en commun ou dans les bouchons. 45 minutes pour (re)découvrir internet, 45 minutes pour changer fondamentalement votre vision de la société, 45 minutes pour comprendre où nous allons tous, portés par le courant des changements de paradigmes en cours.

La vidéo est ici : http://www.clipevents.tv/cedap-serge-soudoplatoff/

Serge Soudoplatoff, invité par le CEDAP à présenté ce que change internet dans nos façons de travailler et de partager et notamment comment les organisations sont modifiées par le fonctionnement en réseau au travers du web. Pour plus d’infos , le site de Serge est accessible à l’adresse : http://www.almatropie.org/blgg/

Réalisateur: Franck Dumesnil
Présentateur: Serge Soudoplatoff
Blog: http://www.soudoplatoff.com/
Durée de la vidéo: 45 mn

J’ai eu la chance de rencontrer Serge Soudoplatoff, grâce à Jean-Michel Planche, lors du lancement de l’OpenCoffee il y a plus d’un an maintenant. Brillant personnage, on boit ses paroles, l’homme est un formidable conteur, mais derrière ce talent d’orateur il y a une écoute et une curiosité qui alimentent son esprit en avance.

Un Google fran

J’adhère totalement, je reproduis dans son intégralité, je n’ai rien à ajouter, tout est dit :

Publié par Jérôme Bouteiller le Mardi 8 Juillet 2008
Un Google français n’est pas qu’une utopie

Catherine Barba, François Bourdoncle, Mats Carduner, Pierre Kosciusko-Morizet, Laurent Kott, Cédric Manara et Mark Zaleski ont décidé de prendre la plume pour signer cette tribune, diffusée ce matin dans les colonnes du Monde (8 Juillet, Page 8), et revenant sur le thème d’un « Google français »… Nous reproduisons le texte dans son intégralité.

Après avoir déclaré qu’il ne serait pas le ministre de la « castration de l’Internet », Eric Besson (secrétaire d’Etat chargé de la prospective, de l’évaluation des politiques publiques et de l’économie numérique) ajoute qu’il aimerait que sa mission contribue à faire en sorte que le prochain Google soit français. Voilà un slogan qui a le mérite d’être simple, mais qui ne doit pas faire sourire.

Car la France a de très nombreux atouts. Le contexte français du haut débit constitue notamment un terrain très favorable. Grâce à une politique stimulant la concurrence, les offres d’accès haut débit en France figurent parmi les moins chères et les plus innovantes au monde. Ce terreau favorable a commencé à porter ses fruits, et quelques jeunes pousses nationales montrent le bout de leur nez sur la scène européenne et mondiale de l’Internet.

Notre première recommandation serait justement de maintenir le modèle ouvert qui a fait le succès de l’Internet et permis à un foisonnement de sites, de nouveaux services, d’applications innovantes, de contenus, d’avoir accès d’emblée à 1,3 milliard d’internautes. Certains opérateurs de télécommunications sont tentés de prendre le contrôle de cet espace ouvert. Un comportement surprenant d’ailleurs, au regard de ce que leur apporte directement le développement des acteurs du Web, ne serait-ce qu’en termes de revenus publicitaires et de débouchés sur des activités nouvelles de création et de diffusion de contenus. Un Internet non « neutre » introduirait surtout un péage à l’entrée à la rigueur soutenable pour des acteurs de l’Internet déjà établis, mais difficile à franchir pour les jeunes pousses.

Car le vrai sujet consiste à regarder comment l’économie française peut donner naissance non seulement à un champion mondial de l’Internet, mais aussi et finalement surtout à de nombreuses entreprises florissantes dans ce domaine. Pour paraphraser notre titre, n’oublions pas, au bout du compte, qu’un Google ne vient jamais seul !

C’est là un objectif que l’on se gardera donc de rapprocher du préhistorique plan calcul, dont les résultats furent si peu probants… En fait, notre principal message aux pouvoirs publics serait, paradoxalement, d’en faire… le moins possible ! Laissez agir les entrepreneurs, ils sauront évoluer, se regrouper, changer leur fusil d’épaule. Ils n’ont pas besoin de subventions. Par contre, osez défendre l’avenir contre le passé et non l’inverse ! L’économie numérique bouscule, parfois fortement, les secteurs plus traditionnels. C’est une bonne chose ! N’ayons pas peur des changements, prenons-les à bras le corps, cherchons à en être à l’avant-garde, le bilan sera, au final, largement positif. Il y a trois ans, Jean-Pierre Jouyet, l’actuel secrétaire d’Etat aux affaires européennes, et Maurice Lévy, le président de Publicis, publiaient un rapport qui a marqué les esprits. A la page 11, ils écrivaient : « Dans de nombreux domaines confrontés à un changement technologique, nous nous demandons comment protéger l’existant, alors qu’il faudrait d’abord chercher à tirer au mieux parti du changement.  » Il n’y a pas une virgule à modifier. Rien que du bon sens.

Ce sera donc notre autre message phare : l’économie numérique est davantage « génitrice » d’opportunités que de risques. Profitons-en ! Ces messages ont leur versant juridique. Savez-vous que la France est le pays du monde où les entreprises de l’Internet doivent faire face au plus grand nombre de procédures juridiques ? Quelle que soit la validité des procédures, elles nous semblent surtout révélatrices de peurs, d’appréhensions face au changement, de réflexes de crispation. Encore ne s’agit-il que des tribunaux, mais quand les élus de la nation se mettent en tête de revoir la loi pour la rendre encore plus protectrice des situations du passé, il est certain que l’innovation n’en sortira pas gagnante, et encore moins l’économie française. Il faut un environnement juridique qui, sans pour autant laisser faire n’importe quoi, laisse une marge à l’innovation.

Dernier point, cerise sur le gâteau : les taxes. Dans ce domaine, nous le savons, la créativité peut être grande. Peut-on la limiter ? Imagine-t-on aujourd’hui taxer les Vélib’ pour financer la hausse du prix du gazole ? C’est pourtant à cette situation absurde que font penser les projets récurrents de taxation de l’Internet pour contrebalancer les résistances au changement et à la migration vers le numérique de tel ou tel secteur. Par exemple, taxer l’Internet pour financer la télévision.

Le prochain Google peut-il être français ? Chiche ! Rendez-vous dans dix ans.

Catherine Barba, fondatrice et présidente de Malinea (Cashstore.fr) ;
François Bourdoncle, fondateur d’Exalead ;
Mats Carduner, directeur général de Google France et Europe du Sud ;
Pierre Kosciusko-Morizet, PDG de Price Minister et président de l’Association des sites Internet communautaires ;
Laurent Kott, directeur général d’Inria-Transfert ;
Cédric Manara, professeur associé à l’Edhec Business School ;
Mark Zaleski, PDG de Dailymotion.

Premier OpenCamp samedi 28 juin

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Petit rappel : C’est aujourd’hui qu’a lieu le premier OpenCamp, né de l’hypercréatif Christophe Ducamp, et préparé avec une énergie et une passion qui lui sont propres. C’est à partir de 12h, ça dure tout l’après-midi, et c’est sur le toit de la Grande Arche de La Défense, dans ce merveilleux Musée de l’Informatique.

Ne ratez pas ce moment qui promet de la profondeur.

FACE : French American Conference of Entrepreneurs

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Vendredi 27 toute la journée, et samedi 28 le matin, aura lieu à Paris la French American Conference of Entrepreneurs.

« Entrepreneurs, voyez grand ! »

ADVANCIA, l’école de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris entièrement dédiée à l’entrepreneuriat, San Francisco Science, groupe technologique américain et Triana Venture Partners, cabinet d’accompagnement à la création d’entreprise, innovent et organisent la première rencontre des entrepreneurs français et américains les 27 et 28 juin 2008.

Objectifs :

  • Créer une communauté d’entrepreneurs dynamiques et de partenaires stratégiques (investisseurs, avocats, etc.)
  • Générer des opportunités d’affaires
  • Créer un environnement favorable à la croissance des entreprises

Vous m’excuserez pour ce copié-collé du communiqué de presse, moi-même j’ai horreur de ça quand je le vois pratiqué chez des blogueurs, mais ceux qui me connaissent savent que je suis à 200% sur le décollage de Fair Play Interactive, je n’ai plus une minute pour mon blog.

Cela dit, à ce stade, étant la première édition de cette conférence, je n’ai pas grand-chose à en dire, si ce n’est que je trouve l’initiative excellente et le concept très prometteur. Je ferais un debrief rapide dans quelques jours.

Je voudrais remercier Ouriel de TechCrunch FR de m’avoir proposé une place, remercier les lecteurs de TechCrunch FR d’avoir témoigné si chaleureusement de leur intérêt pour l’OpenCoffee Club, et remercier Hugues de Revel d’ADVANCIA de m’avoir invité libérant ainsi pour un 5e entrepreneur une des précieuses places offertes via TechCrunch FR.

Cela dit, je me suis trouvé un peu con à l’instant même où j’ai posté mon commentaire sur TechCrunch, réalisant a posteriori qu’il me suffisait d’envoyer un mail à Ouriel pour voir directement avec lui et Hugues comment permettre à l’OpenCoffee Club de Paris d’y être représenté pour évangéliser, plutôt que de jouer à ce concours où je n’avais rien à y faire sinon risquer de piquer la place d’un entrepreneur. Bref, Ouriel et Hughes ont réagi vite alors que je n’étais pas bien bien réveillé.

En conclusion, j’y vais donc avec l’étiquette OpenCoffee Club Paris, et je m’engage à convaincre au minimum Pierre Kosciusko-Morizet de passer un jeudi 🙂

Et si l’an prochain la French American Conference of Entrepreneurs commençait un jeudi, par un OpenCoffee spécial FACE ?

Le Premier Ministre Fran

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Le Premier Ministre, François Fillon, se rendra demain mercredi 28 mai de 17h00 à 18h30, à La Cantine, accompagné d’Eric Besson, Secrétaire d’Etat chargé de la Prospective, de l’Evaluation des politiques publiques et du Développement de l’économie numérique.

A la veille du lancement des Assises du Numérique cette visite sera l’occasion pour François Fillon de découvrir cet espace de travail collaboratif dédié aux nouvelles technologies créé par Silicon Sentier, et de s’entretenir avec des entrepreneurs sur les enjeux liés au développement du secteur des TIC.

Stéphane Distinguin, Président de Silicon Sentier, reçoit donc François Fillon et 6 entrepreneurs du WEB afin d’échanger avec le Premier Ministre :

  • Yseulys Costes, Présidente et fondatrice de la société Mille Mercis
  • Emmanuel Guyot, Président et fondateur de la société Digitick
  • Bertrand Diard, cofondateur et Président de la société Talend
  • Marc Reeb, cofondateur de Viadeo
  • Thomas Serval, Président de la société Baracoda
  • Louis van Proosdij, Président de Fair Play Interactive TV et fondateur de l’OpenCoffee Club.

Le débat sera animé par Luc Fayart, journaliste de Radio-Classique (101.1 Mhz à Paris) (dans « L’actualité high-tech », tous les vendredis matin, à 7h50)

Hélas l’événement n’est pas public pour des raisons de logistique, mais il sera retransmis en live sur QNTV :

http://qntv.fr/

Ne ratez pas l’événement 🙂

Et bravo à La Cantine!!

Non au boycott des Jeux Olympiques, oui

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Après lecture sur le blog de Laurence Thurion : « Non au boycott des Jeux Olympiques, oui à la liberté d’expression et aux droits de l’homme« 

Je suis en total accord avec ce qu’écrit Laurence.

Triste spectacle que cette flamme malmenée et ces sportifs bousculés alors qu’ils ne font que transmettre l’esprit des Jeux. La flamme n’est ni un drapeau, ni un porte-drapeau chinois. Laissons les sportifs à leurs Jeux, et libres d’exprimer à leur façon et au moment de leur choix leur éventuelle désapprobation de la politique chinoise.

Pour ma part, je rêve de voir le jour de la cérémonie d’ouverture, en fin de cérémonie, tous les sportifs se coucher à plat ventre au sol restant immobiles 15 ou 30 minutes, en silence, avant de se relever et poursuivre en paix.

Et je rêve qu’au même moment le monde entier se constitue en Freeze planétaire, en symbole du soutien à l’ensemble du peuple chinois, Tibétains inclus, et en symbole de l’opposition à la politique du gouvernement chinois.

Deux articles intéressants lus récemment sur TechCrunch (US) :

Tout est dans le titre… sauf le mot « amorçage », mais il va de soi.

France réveille toi… construisons ensemble cet écosystème vertueux !!!!

P.S. : Petit rappel, « SparkCampParis les 18 et 19 Avril 2008 – un camp autour des startups « 

3i et amor

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Il y a quelques jours j’écrivais « 3i abandonnerait l’amorçage ?« .

Dans la continuité du sujet abordé, je vous suggère la lecture de l’interview dans NetEco du très respectable Jean-Davis Chamboredon réalisée par Jérôme Bouteiller :

Jean-David Chamboredon 3i : «Les entrepreneurs à succès sont les business angels demain»

Le discours est clair et sensé, mais hélas ce recentrage de 3i sur le late stage, abandonnant middle stage puis early stage, arrive trop tôt pour le marché français encore bien mal structuré et en quête d’un écosystème vertueux qui nous donnent des chances de voir se développer des entreprises pouvant atteindre le late stage.

Un poulet bien en chair se vend plus cher qu’un oeuf sur le marché, faut-il arrêter la production d’oeufs ? (Je ne parle pas des œufs qui ne doivent pas être fécondés, utilisés en cuisine…)

A noter que mon image oeufs/poules garde son sens face à la vision de JDCH « tout faire pour conserver les serial entrepreneurs français sur notre territoire car ce sont eux les business angels de demain« . On parle bien d’oeufs à féconder…

Il nous faut construire un nouvel écosystème, au travail!

Le prochain BarCampBank Paris : BarCampBankParis6 le 24 mai 2008

Logo Barcampbank

Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas vu passer de BarCampBank, c’est corrigé, Frédéric Baud nous en a mis un sur les rails pour le 24 mai 2008.

Il s’est passé beaucoup de choses dans ce domaine ces derniers mois, un peu partout, et chez nous aussi. Ce sera l’occasion, entre autres, de parler FundCamp France 2008 et P2PVenture.

Frédéric Baud et Jean-Christophe Capelli nous raconteront aussi le premier BarCampBankSF qui a eu lieu à San Francisco le 29 mars et auquel ils se sont rendus comme ambassadeurs de l’innovation française 🙂 Rappelons-le, les BarCampBank sont nés dans l’hexagone, entre Gaulois comme dirait Jean-Michel Billaut.

BarCamBankParis6 inscrivez-vous…

Les Chinois croient-ils ma

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D’un côté ça fait rire, de l’autre on peut quand même se demander si en y arrivant ils ne nous préparent pas une pure démonstration de puissance à comparer avec l’effet Spoutnik 1 (premier satellite), Youri Gagarine (premier homme dans l’espace), Neil Armstrong (premier homme sur la lune).

Jeux Olympiques 2008, la Chine incarnant Zeus (Jupiter) Zeus, le roi de la nouvelle génération de dieux qui ont vécu sur le mont Olympe, dieu du ciel et des phénomènes célestes ?

via « Chinese Believe They Can Control Olympic Weather « 
et « Do the Chinese really believe they can control the weather? « 

SparkCampParis les 18 et 19 Avril 2008 – un camp autour des startups

Frédéric Baud (fondateur de P2PVenture), et moi même (qui tente d’apporter un peu de mon temps à l’aventure), nous avons le plaisir de vous annoncer que P2PVenture.org organise avec Sun France et Silicon Sentier un SparkCampParis les 18 et 19 avril prochains. Le principe est de réunir en un même lieu dans un format très interactif tous les acteurs de l’écosystème entrepreneurial français et de favoriser ainsi l’accumulation de masse critique autour des projets présents.

Plus de détails sur le SparkCampParis sont disponibles ci-dessous. Nous espérons vous retrouver lors de cet évènement qui, souhaitons-le, démarrera une dynamique vertueuse dans l’écosystème entrepreneurial français.

P2PVenture
http://france.p2pventure.org

Qu’est-ce qu’un SparkCamp ?

Un SparkCamp (spark = étincelle) est inspiré des Startup Camps. L’idée est de mettre en contact dans un format interactif les différents acteurs de l’écosystème entrepreneurial (porteurs de projets, coaches, investisseurs,..) pour créer les conditions qui généreront l’accumulation de masse critique sur certains projets et créeront des croissances explosives.

Programme

vendredi 18 avril – 14h00-18h30 – Media training

L’idée est de fournir à un nombre (limité aux conditions de places) de startups une formation à différent aspect de la communication de son projet : comment construire une vision, comment communiquer face aux caméras, faut-il avoir un blog,..

samedi 19 avril – 9h00-13h00 – Marketing et ventes

En format OpenSpace, les différents participants pourront échanger à travers des ateliers ad hoc les thèmes qu’ils pensent important d’aborder (coaches) ou les questions qu’ils se posent (porteurs de projets). Ces thèmes porteront sur toutes les aspects marketing et ventes qui se posent à des startups (importance de la vision, « Crossing the Chasm », les canaux de distribution,..).

samedi 19 avril – 14h00-19h00 – Financement, juridique et RH

Dans le même mode que le matin, les participants pourront aborder tous les thèmes du financement (qu’est-ce qu’un Business Angel, comment organiser ses tours de tables, qu’attendent les VCs, à quoi servent les leveurs de fonds,..), les thèmes juridiques (qu’est-ce qu’un pacte d’actionnaire, à quoi sert un brevet,..) ou ressources humaines (comment constituer une équipe, comment motiver ses partenaires en partageant le capital,..).


Plus d’information et inscription

Vous pouvez trouver plus d’information sur http://barcamp.org/SparkCampParis.

Les inscriptions se font sur http://sparkcampparis.eventbrite.com/

3i abandonnerait l’amor

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Lu sur NetEco de la plume de Jérôme Bouteiller : « Capital Risque : 3i compte abandonner l’amorçage par Neteco.com« .

Voilà une bien mauvaise nouvelle qui vient s’ajouter à beaucoup de discussions récentes sur le sujet, pour ne pas dire de « bruits de couloir », qui indiquent un très fort repli à prévoir du Capital Risque en Europe et aux États-Unis (les NTIC étant le secteur le plus touché), la France étant plus fortement concernée car elle attire historiquement moins les investissements que le Royaume-Uni. L’amorçage, dit « Early Stage » en anglais, étant effectivement moins rentable pour beaucoup de fonds, c’est ce secteur qui va être touché le plus fortement.

Hélas le secteur de l’amorçage étant aussi celui qui est historiquement le moins développé en France, un point majeur sur lequel on bute pour créer un écosystème vertueux créateur d’entreprises innovantes, on peut s’inquiéter de l’impact sur un secteur déjà difficile.

Hasards du calendrier, cela tombe à un moment où bon nombre d’entrepreneurs ont fait plusieurs allers et retours dans la Silicon Valley ces derniers mois pour y tâter le terrain, que Loïc Le Meur y est installé depuis août et exhorte les entrepreneurs à ne plus se poser de questions et à y partir, et que 8 de nos fidèles membres de l’OpenCoffee sont en pleine tournée californienne la tête pleine de rêves…

J’ai failli partir il y a quelques années… si la situation se dégrade réellement, je ne me poserai pas trop de questions, je me sens comme chez moi dans la Valley, en phase avec cette énergie positive et constructive, séduit par la qualité de vie qu’on y trouve. Internet, le Mobile, l’IPTV, tant de choses sont en train de se créer, il y a tant à inventer et créer, que si notre écosystème ne sait être en phase, il faudra aller là où se créent les usages et technologies de demain.

Pour le moment, pas de panique, observons concrètement!