Ramenée à mon esprit par le post « Parkinson’s law is so true! » de Fabrice Grinda, La loi de Parkinson exprime que « le travail s’étale de façon à occuper le temps disponible pour son achèvement » (« work expands to fill the time available for its completion”).
Intéressante loi énoncée dans un article de C. Northcote Parkinson, Raffles Professor of History à l’University de Singapore, paru pour la première fois en Novembre 1955 dans The Economist.
Un bon copier-coller avec pointage vers la source vaut mieux qu’une réécriture médiocre de ma part :
La loi de Parkinson exprime que « le travail s’étale de façon à occuper le temps disponible pour son achèvement ».
Elle fut exprimée en 1958 par C. Northcote Parkinson dans son livre Les lois de Parkinson, basé sur une longue expérience dans l’Administration britannique. Les observations scientifiques qui contribuèrent au développement de la loi tenaient compte de l’accroissement du nombre d’employés du Bureau des affaires coloniales, ceci malgré le déclin de l’Empire britannique dans le même temps.
D’après Parkinson, cela est dû à deux forces :
« Un fonctionnaire entend multiplier ses subordonnés, pas ses rivaux » et
« Les fonctionnaires se créent mutuellement du travail ».
Il nota également que le total des employés d’une administration augmentait de 5 à 7 % par an « indépendamment de toute variation de la quantité de travail (le cas échéant) à accomplir ».
[…]
Parkinson proposa aussi une règle relative à l’efficacité des conseils d’administration. Il définit un coefficient d’inefficacité dont la variable la plus significative est le nombre de ses membres.
Article Loi de Parkinson sur Wikipédia
Je vous invite à lire (en anglais) l’article de Fabrice Grinda.